Tell Me, Dark

Détails : Présentation de l'éditeur S'inspirant des «Fleurs du Mal» de Baudelaire, les auteurs nous proposent dans ce roman graphique émouvant la vision d'un couple rock'n'roll en quête d'absolu, la passion d'un homme pour une femme menacée par ses démons. Barbara. Tellement belle et fragile que Michael ne peut l'oublier. Aussi tellement défoncée qu'elle a sombré jusque là où la vie est bafouée, là où au milieu des rites sadomasochistes, elle ne voit plus qu'un baiser dissimule la pire des trahisons. KENT WILLIAMS, américain, est considéré par ses pairs comme l'un des plus grands graphistes de la bande dessinée. Sa technique emprunte à la peinture. Dans un climat envoûtant, il exprime la quintessence des sentiments. KARL EDWARD WAGNER a écrit l'histoire et JOHN NEY RIEBER a imaginé les dialogues de cette oeuvre romantique qui marquera les esprits. Revue de presse Les yeux cavés de visions nocturnes, halluciné par son plongeon suicidaire dans la Tamise, Michaël cherche Barbara. Elle est partout, fantôme dépecé par de funèbres rites sadomasochistes. Défoncée à toutes les heures de sa vie, incapable de sortir du cercle archaïque de ses démons. L'histoire de sa passion pour Barbara entraîne Michaël aux portes de l'enfer. "On se perd dans ce monde". On veut sentir, on essaie. "Etre aimé. Appartenir. On ne sait pas comment. Alors, on demande à la nuit." Adossé au malheur, parmi les noires épouvantes de l'asphalte, Michaël sait que désormais sa douleur est son unique noblesse, et qu'il lui faut la traverser de part en part s'il veut récupérer Barbara. Ni la terre, ni les enfers ne mordent jamais à cette douleur. L'invraisemblance d'aimer, seule, nourrie de son incertitude grandiloquente, est son guide fragile. Une œuvre superbe, au romantisme absolu ! Une œuvre magique, conçue dans la fulgurance de la violence 'beaudelairienne". L'image, grattée, rayée, rouillée en de sublimes lâchers d'encre, déploie toutes les ressources que la peinture, le dessin ou la gravure autorisent. Le texte ricoche abruptement dans ces planches magnifiques, mêlant au verbe de Baudelaire les notations sèches de Karl Edward Wagner. Un visage monte parfois brusquement dans la page. Ou bien il est estompé, à peine esquissé. Ce n'est jamais gratuit : le silence ou le bruit, la présence ou son fantôme, l'absence ou le rêve conditionnent chaque fois le choix des représentations, du dessin.-- Joël Jégouzo-- -- Urbuz.com Quatrième de couverture S'inspirant des « Fleurs du Mal » de Baudelaire, les auteurs nous proposent dans ce roman graphique émouvant la vision d'un couple rock'n'roll en quête d'absolu, la passion d'un homme pour une femme menacée par ses démons. Barbara. Tellement belle et fragile que Michael ne peut l'oublier. Aussi tellement défoncée qu'elle a sombré jusque là où la vie est bafouée, là où au milieu des rites sadomasochistes, elle ne voit plus qu'un baiser dissimule la pire des trahisons. Biographie de l'auteur KENT WILLIAMS, américain, est considéré par ses pairs comme l'un des plus grands graphistes de la bande dessinée. Sa technique emprunte à la peinture. Dans un climat envoûtant, il exprime la quintessence des sentiments. KARL EDWARD WAGNER a écrit l'histoire et JOHN NEY RIEBER a imaginé les dialogues de cette ?uvre romantique qui marquera les esprits.